Journal européen d'obstétrique, de gynécologie et de biologie de la reproduction
Janvier 2023
(Traduction Google)
Extrait
"Objectif :
Analyser la qualité de vie (QoL) et la résolution des symptômes après le retrait chirurgical des dispositifs Essure.
Méthodes :
Étude de cohorte monocentrique qui a inclus des patients ayant subi une ablation d'Essure entre février 2017 et mars 2018. [...] Conclusion :
La suppression d'Essure a un rôle réparateur en termes de qualité de vie à court et à long terme. Les patientes doivent être informées de la possibilité d'aucune amélioration après la chirurgie et de la morbidité chirurgicale. Une cohorte prospective plus importante est nécessaire pour prendre une décision mûrement réfléchie sur les risques de la chirurgie par rapport aux bénéfices attendus.
Journal of The Society of Laparoscopic & Robotic Surgeons
Décembre 2022
(Traduction Google)
Extrait
"Contexte et objectif :
Analyser l'efficacité à long terme d'une approche conservatrice préservant l'utérus pour le retrait laparoscopique d'Essure. Les résultats d'intérêt spécifiques comprennent la satisfaction du patient, la résolution des symptômes et l'intervention chirurgicale subséquente.
[...]
Conclusion :
La plupart des patientes de notre cohorte ont signalé une amélioration totale ou presque totale des symptômes près de deux ans après le retrait d'Essure, avec de faibles taux de réintervention. Une approche d'épargne utérine pour le retrait d'Essure, utilisant des modalités laparoscopiques et hystéroscopiques, peut être une approche réalisable et efficace pour traiter les symptômes attribués à Essure."
BMC Santé des femmes
23 juin 2022
Extrait
[...] "Évaluer le taux et les causes du retrait du système de micro-inserts Essure® et le taux de satisfaction à long terme des patients vis-à-vis de la procédure.
[...]
Conclusion
La stérilisation hystéroscopique Essure® est une procédure avec un taux de satisfaction très élevé et un taux d'élimination très faible en raison de complications liées à la stérilisation."
16 juin 2022
Une première session était consacrée à la minéralopathologie générale (l’étude des relations causales entre expositions à des particules minérales et l'apparition des pathologies).
La deuxième session concernait les implants Essure®.
Les scientifiques présents affirment de manière certaine que :
Une réflexion sur les chélateurs a également été présentée. Il faut éviter les chélateurs naturels provenant d’un environnement potentiellement déjà chargé en métaux (chlorella par exemple). La recherche s'oriente vers un gel sous-cutané chélatant. Néanmoins, la grande interrogation réside sur la sélectivité du gel. Serait-il capable de chélater les métaux toxiques présents en très faible quantité et non pas les métaux essentiels à l'organisme ?
Enfin, une expertise a été apportée sur les actions juridiques en cours. Tant que le lien de causalité entre les implants et les symptômes n’est pas démontré scientifiquement, c’est le principe de présomption qui s’applique. Ainsi chaque dossier doit être jugé au cas par cas.
Voir le résumé complet
Web conférence Research-DMI (11/11/2021)
Le laboratoire ToxSeek réalise le dépistage de 49 métaux à partir d'un prélèvement de cheveux pour évaluer une intoxication chronique.
Ici, une vidéoconférence autour des objectifs et premiers résultats de l'étude Research-DMI, qui s'adresse aux femmes implantées (avec ou sans symptôme) et explantées (avec
symptômes) du dispositif Essure®.
1er octobre 2020
L'ANSM a invité le 1er octobre 2020 des équipes scientifiques à présenter les résultats de leurs études portant sur le dispositif de stérilisation définitive Essure®, auprès de professionnels de santé, de représentants de femmes porteuses d'implants Essure® et des autorités de santé. L'association R.E.S.I.S.T. était présente.
Cliquez sur les liens ci-dessous pour plus d'informations :
La Revue de Médecine Interne
1er juin 2021
Extrait "De plus en plus de données de la littérature sont en faveur d’une imputabilité des implants Essure à certains syndromes douloureux chronique. Leur ablation pourrait être plus facilement motivée par la réalisation relativement aisée de dosages urinaires voire sanguins de métaux lourds."
Consulter à partir du lien (ScienceDirect.com)
par hystérectomie vaginale ou salpingectomie laparoscopique avec cornuectomie
Journal de gynécologie obstétrique et reproduction humaine*
31 mai 2020
(*Journal of Gynecology Obstetrics and Human Reproduction)
Extrait
"Le retrait des micro-inserts intra-tubaires améliore considérablement les symptômes gynécologiques et extra-gynécologiques au fil du temps. [...]
Ces résultats incitent à accéder aux demandes de retrait d'Essure® chez les patientes symptomatiques."
Journal européen d'obstétrique,
gynécologie et biologie reproductive
19 avril 2020
Traduction par Google translate
Extrait :
"Objectif : Environ 750 000 femmes dans le monde ont subi une stérilisation hystéroscopique ESSURE depuis 2002. En 2015, une augmentation des effets indésirables a été notée, avec des symptômes gynécologiques et systémiques signalés. L'analyse par microscopie électronique à balayage (SEM) des tissus et implants de la trompe de Fallope et de la corne utérine, après hystérectomie ou salpingectomie, a révélé la présence de particules inorganiques résultant de la dégradation de l'implant.
Discussion et conclusion : l'analyse des études précliniques réalisées par le fabricant suggère que la dégradation de la soudure à l'étain joue un rôle majeur dans ces événements indésirables, avec une augmentation de la lixiviation et de la corrosion entre 3 et 6 mois pour un insert intratubal qui est conçu pour rester dans le corps d'une femme à vie.
Pour les patientes présentant des symptômes gynécologiques (par ex. douleurs, métrorragies) nécessitant une explantation, ces résultats soulèvent la question d'une relation causale entre les particules d'étain issues de la dégradation de l'implant et la réponse inflammatoire des tissus.
Pour les patientes présentant des symptômes systémiques (par exemple, vision trouble, céphalées, asthénie, myalgie), l'hypothèse selon laquelle ces symptômes pourraient être liés à la formation d'organoétain (composés chimiques à base d'étain avec des substituants hydrocarbonés) dans le corps reste à prouver. Les niveaux d'étain dans le sang doivent être mesurés avant et après l'explantation. À la connaissance des auteurs, il s'agit de la première étude à rapporter une dégradation significative de la soudure d'implant ESSURE, mise en évidence par la détection de particules d'étain dans le tissu utérin des patientes et la comparaison de la zone de soudure entre les implants inutilisés et utilisés."
Institut national des sciences appliquées (Lyon)
10 février 2020
L'INSA (Lyon) dévoile des résultats de recherche autour de l'implant Essure®.
Effets secondaires, mise en cause de l'étain contenu dans la soudure, aboutissent à la conclusion de la toxicité du dispositif.
Publications sur le dispositif Essure®
Directrice du programme santé des femmes de la FDA (2020) (Food & Drug Administration - USA)
"Bien qu'Essure ne soit plus disponible pour l'implantation aux États-Unis, la FDA reste déterminée à évaluer les informations de sécurité à long terme chez les femmes qui ont reçu le dispositif, y compris les données d'une étude de surveillance post-commercialisation requise par la FDA.
Les premiers résultats provenant d’études réalisées sur les porteuses d’Essure®, montrent que les patientes ont une tendance à des douleurs abdominales basses, et/ou des douleurs pelviennes chroniques, à des saignements utérins anormaux, et sujet à de nombreuses interventions chirurgicales.[...]"
LEPORT M. (2018)
« Impact du retrait des dispositifs Essure sur la symptomatologie des patientes »
"Objectif : évaluer l’évolution clinique des patientes (du Centre Hospitalier Lyon Sud, et de l’hôpital de la Croix Rousse), après le retrait des dispositifs Essure.
Conclusion : le retrait du dispositif Essure semble être une intervention sûre et efficace, pour soulager les patientes de leurs symptômes, même lorsqu’un fragment d’implant est laissé en place."
JEGADEN M. (2019), gynécologue obstétricien
"Objectif : évaluer la résolution des symptômes après leur retrait chirurgical (évaluation de 4 à 8 semaines, et de 6 à 24 mois après le retrait).
Résultats : 46,7% de résolution des problèmes après un mois, et 83,3% à 24 mois.
Conclusion : l’ablation chirurgicale semble efficace pour traiter la majorité des patientes présentant des symptômes."
EYCHENNE C. (2019), Université de Toulouse III Paul Sabatier
"Objectif : évaluer la résolution des symptômes après leur retrait chirurgical (évaluation de 4 à 8 semaines, et de 6 à 24 mois après le retrait).
Résultats : 46,7% de résolution des problèmes après un mois, et 83,3% à 24 mois.
Conclusion : l’ablation chirurgicale semble efficace pour traiter la majorité des patientes présentant des symptômes."
Thèses d’exercice en médecine - 2017/2020
Stérilisation tubaire par Essure, prévalence des effets indésirables à propos d’une cohorte de 642 patientes opérées au CHU d’Amiens-Picardie
Objectif : évaluer la tolérance et l’efficacité de cette technique, ainsi que la satisfaction des patientes. Concerne des femmes ayant eu la pose du dispositif entre 2006 et 2017 au CHU d’Amiens.
Résultats : 642 patientes ont bénéficié de la technique Essure, 292 femmes ont répondu à l’enquête avec un taux de satisfaction de 82,5%.
Cette étude conclut à une satisfaction élevée des patientes.